Bonne réponse

Si la mention de l’origine est automatique pour la viande crue (au moins pour l’élevage et abattage), l’étiquetage de l’origine de la viande en tant qu’ingrédient est soumis à des conditions. Il faut que le plat contienne au moins 8 % de viande pour qu’il devienne obligatoire. La précision de l'origine concerne le pays de naissance, d'élevage et d'abattage des animaux. Quand les 3 étapes ont lieu dans le même pays, il est possible de ne mentionner que ce pays. Une information plus succincte « origine UE » est également admise.

Mauvaise réponse

Si la mention de l’origine est automatique pour la viande crue (au moins pour l’élevage et abattage), l’étiquetage de l’origine de la viande en tant qu’ingrédient est soumis à des conditions. Il faut que le plat contienne au moins 8 % de viande pour qu’il devienne obligatoire. La précision de l'origine concerne le pays de naissance, d'élevage et d'abattage des animaux. Quand les 3 étapes ont lieu dans le même pays, il est possible de ne mentionner que ce pays. Une information plus succincte « origine UE » est également admise.

Bonne réponse

Certains germes résistent à la chaleur même si la cuisson est longue. C’est pourquoi l’Anses, l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, recommande de ne pas laisser un plat cuit à température ambiante plus de deux heures avant de le placer au réfrigérateur ou au congélateur. Si la quantité d’aliment préparée est importante, répartissez-la en portions plus petites pour que le refroidissement soit plus rapide. Les plats cuisinés contenant de l’œuf cru (mayonnaise).

Mauvaise réponse

Certains germes résistent à la chaleur même si la cuisson est longue. C’est pourquoi l’Anses, l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, recommande de ne pas laisser un plat cuit à température ambiante plus de deux heures avant de le placer au réfrigérateur ou au congélateur. Si la quantité d’aliment préparée est importante, répartissez-la en portions plus petites pour que le refroidissement soit plus rapide. Les plats cuisinés contenant de l’œuf cru (mayonnaise).

Bonne réponse

À la maison, les ménages gaspillent 29 kg par an et par personne de nourriture, soit l’équivalent d’un repas par semaine ! Sur ce total, 7 kg de produits n’ont même pas été déballés. La note finale est salée, ce gaspillage coûte 159 euros par an et par habitant. À ce gaspillage s’ajoutent 21 kg de nourriture jetée par an et par habitant lors de repas pris à l’extérieur du foyer.

Source : ADEME

Mauvaise réponse

À la maison, les ménages gaspillent 29 kg par an et par personne de nourriture, soit l’équivalent d’un repas par semaine ! Sur ce total, 7 kg de produits n’ont même pas été déballés. La note finale est salée, ce gaspillage coûte 159 euros par an et par habitant. À ce gaspillage s’ajoutent 21 kg de nourriture jetée par an et par habitant lors de repas pris à l’extérieur du foyer.

Source : ADEME

Bonne réponse

La température idéale de conservation des aliments se situe entre zéro et + 4 °C au point le plus froid. Le réfrigérateur est un maillon important de la chaîne du froid. Sa température doit être contrôlée régulièrement en l’équipant d’un thermomètre. En effet, une température inférieure à 4 °C ralentit considérablement la croissance des micro-organismes (bactéries et germes). Rappelons que c’est dans la zone la plus froide que doivent être placés les produits très périssables (viandes et poissons crus, plats cuisinés, crème, fromages frais…)

Mauvaise réponse

La température idéale de conservation des aliments se situe entre zéro et + 4 °C au point le plus froid. Le réfrigérateur est un maillon important de la chaîne du froid. Sa température doit être contrôlée régulièrement en l’équipant d’un thermomètre. En effet, une température inférieure à 4 °C ralentit considérablement la croissance des micro-organismes (bactéries et germes). Rappelons que c’est dans la zone la plus froide que doivent être placés les produits très périssables (viandes et poissons crus, plats cuisinés, crème, fromages frais…)

Bonne réponse

Le code de la consommation précise que l’état physique d’une denrée alimentaire ou le traitement qu’elle a subi doit être indiqué dès lors que son omission peut créer une confusion dans l’esprit de l’acheteur. Pour mieux informer les consommateurs, l’indication de la dénomination de vente peut donc être suivie de la mention « décongelée » ou « produit décongelé ».La décongélation étant un terrain favorable à la prolifération des bactéries, il ne faut donc pas recongeler un produit qui a été décongelé. À la décongélation suivante, le risque d’intoxication alimentaire est considérablement accru !

Mauvaise réponse

Le code de la consommation précise que l’état physique d’une denrée alimentaire ou le traitement qu’elle a subi doit être indiqué dès lors que son omission peut créer une confusion dans l’esprit de l’acheteur. Pour mieux informer les consommateurs, l’indication de la dénomination de vente peut donc être suivie de la mention « décongelée » ou « produit décongelé ». La décongélation étant un terrain favorable à la prolifération des bactéries, il ne faut donc pas recongeler un produit qui a été décongelé. À la décongélation suivante, le risque d’intoxication alimentaire est considérablement accru !

Bonne réponse

En France, lorsque la viande compose au moins 8 % du plat, son origine doit être mentionnée. Cocorico, sur les 156 plats cuisinés à base de bœuf (raviolis, hachis Parmentier, etc.) étudiés, la viande est majoritairement française : 85 %. Pour la plupart, elle est visible grâce à un logo tricolore sur l’emballage. Mais pour d’autres, elle est mentionnée dans la liste des ingrédients, ce qui complique la lecture. À noter que sur aucun des plats nous avons trouvé une mention sur la race et la partie du bœuf utilisée dans la recette (collier, filet, poitrine, etc.)

Retrouvez tous nos résultats sur Quantité de viande, qualité nutritionnelle… Que valent vraiment les plats préparés à base de bœuf ?

Mauvaise réponse

En France, lorsque la viande compose au moins 8 % du plat, son origine doit être mentionnée. Cocorico, sur les 156 plats cuisinés à base de bœuf (raviolis, hachis Parmentier, etc.) étudiés, la viande est majoritairement française : 85 %. Pour la plupart, elle est visible grâce à un logo tricolore sur l’emballage. Mais pour d’autres, elle est mentionnée dans la liste des ingrédients, ce qui complique la lecture. À noter que sur aucun des plats nous avons trouvé une mention sur la race et la partie du bœuf utilisée dans la recette (collier, filet, poitrine, etc.)

Retrouvez tous nos résultats sur Quantité de viande, qualité nutritionnelle… Que valent vraiment les plats préparés à base de bœuf ?

Bonne réponse

Dès lors qu’un aliment est entamé, sa durée de conservation et, par conséquent, sa date de péremption sont réduites. Ainsi, des produits considérés comme stables deviennent après ouverture des produits périssables (jus de fruits en brique, conserves…). Référez-vous alors aux indications données par le fabricant sur l’étiquette : « à conserver au réfrigérateur X mois après ouverture ».

Mauvaise réponse

Dès lors qu’un aliment est entamé, sa durée de conservation et, par conséquent, sa date de péremption sont réduites. Ainsi, des produits considérés comme stables deviennent après ouverture des produits périssables (jus de fruits en brique, conserves…). Référez-vous alors aux indications données par le fabricant sur l’étiquette : « à conserver au réfrigérateur X mois après ouverture ».

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